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2019

Portraits Anonymes

avec Patrick Tresset et une collection privée de photo anonymes.

Commissariat Antoine Perpère

Exposition du 22 novembre 2019 au 4 janvier 2020

Vernissage le 21 novembre 2019 à 18h30

Dans le cadre du Festival Photo Marseille

L’exposition propose deux versions à  priori très différentes de la notion d’auteur dans la création artistique.

D’une part, « étude humaine #1,3RNP », une installation de 3 robots, programmés par Patrick TRESSET à partir de recherches sur le comportement humain, qui dessineront en direct des portraits d’après les visiteurs désirant poser devant eux. L’artiste transfère sa créativité libérée de ses propres affects à des robots, manchots et cyclopes, mais sur lesquels les modèles vont réinvestir une sorte d’empathie attentive et émouvante avec ces automates qui les portraitisent.

D’autre part, une présentation de plus de 400 photos anonymes appartenant à une même collection privée. Issues d’albums de familles, elles sont présentées en 50 panneaux documentant chacun un thème, revitalisant ainsi une histoire, un désir, une intention dont le sens premier s’était perdu.

Mais au delà de ces vibrations autour des conditions de la créativité et des noms d’auteurs, les œuvres exposées laissent toute leur place aux réflexions et à l’imaginaire sensible des visiteurs, nouveaux regardeurs qui y reconnaîtront sûrement chacun une part d’eux-mêmes.

Et c’est le plus essentiel et le plus mémorable !

meraki 

une exposition du duo d’artistes VOOGT

par Madely Schott et Fabrice Petitdemange

 

Exposition du 11 octobre au 9 novembre 2019

Vernissage le 10 octobre 2019 à 18h30

VOOGT est né de la rencontre entre Phabrice Petitdemange et Madely Schott à Bruxelles en 2015. Phabrice Petitdemange est artiste polymorphe, auteur/compositeur et performeur. Madely Schott est artiste performeuse/plasticienne, interprète.
Ils proposent des formes de concerts augmentés hybrides à géométrie variable, qui mêlent installation, performance/rituel et vidéo/mapping.

Ils ont des interrogations semblables et des pratiques artistiques communes autour des questions de mythologies personnelles et collectives, ainsi que sur des notions de queer identity, de bricologie, et d’itinérance. Il s’agit d’être dans une démarche d’interrogation voir de transgression des codes sociaux et des tabous qui leur sont associés.

MERAKI ( du Grec, signifie faire un travail en y mettant de l’âme, le faire avec amour et créativité )

La démarche artistique des VOOGT tend vers une utopie poétique de nos catastrophes écologiques. Ils s’essayent à renverser les valeurs négatives vers un sens positif et heureux, et démontrer qu’avec un peu d’imagination, de créativité, d’artisanat ou d’art, le ré-enchantement du monde est possible.

Lors d’une résidence artistique en Crète en 2015, ils découvrent un camping désaffecté surplombant une plage de déchets. L’ambiguïté de ce paysage à la fois dévasté et porteur d’une énergie singulière a retenu leur attention. Captivés par cette installation «naturelle» de plastique, le duo y restent pendant 15 jours tels des archéologues répertoriant les vestiges de notre monde contemporain. L’intensité de cette expérience d’isolement sur cette plage les pousse à revenir, plus longtemps. C’est ainsi qu’ils y retournent pendant trois mois en 2018 avec quelques outils et un panneau solaire.

Les Voogt commencent alors cette odyssée avec le postulat qui suit :

« L’humain s’est vaincu lui même. Les dieux ont voulu donner une dernière chance à l’humanité pour se reconstruire en en ressuscitant une poignée mais en leur retirant une partie de leur mémoire. Leur objectif: nettoyer cette plage plastique pour faire revenir d’autres humains. Comment vont-ils réagir à l’idée de reconstruire une collectivité, entre le besoin, l’envie et la peur? »

http://voogt.fr/

Paul Destieu

Du 30 août au 28 septembre 2019

À l’occasion du temps fort de la rentrée de l’Art contemporain 2019 à Marseille, ainsi que de la pré-ouverture de la 15 ème édition du Festival GAMERZ, les structures OTTO-Prod, Art-cade*, M2F Créations | Lab GAMERZ & D.D.A Diffusing Digital Art présentent une première exposition monographique des oeuvres de l’artiste Paul Destieu à la Galerie des grands bains douches de la Plaine.

Paul Destieu s’inscrit en observateur sensible de la propagation des technologies au sein de nos sociétés. Il s’intéresse aux évolutions technologiques et à leurs enjeux, plus précisément aux statuts de l’image, à ses transformations, à ses modes de création, de diffusion et de consommation. Son travail opère des glissements discrets entre sources, supports et techniques.

À travers ses différentes expérimentations, Paul Destieu investit la singularité de divers média – qu’ils soient numériques ou analogiques – pour mieux comprendre leurs limites, les esthétiques qu’ils produisent ainsi que la dimension politique qu’ils véhiculent par leur inscription dans leur époque.

Du système à la matière

En isolant différents types de matériaux (techniques, mécaniques et leur portée symbolique), l’artiste cherche à en révéler la structure et élabore une syntaxe en utilisant des processus de « collage », de surimpression ou d’entrelacement. Ses œuvres consistent ainsi en la création d’un langage « remanié » qui permet de redéfinir la manière dont l’homme « outillé » perçoit son environnement.

L’image, le son ne sont plus ici compris comme détachés de leur support et de leur source, mais forment avec eux un tout organique, matière sonore et matière visuel devenant un organisme témoin de son époque.

Métrique par défaut

C’est en examinant les productions sonores et les « mécanismes-horloges » de différentes machines (caractérisées par les notions de performance et de productivité) que s’est imposée à Paul Destieu la compréhension du son comme architecture dynamique et la conception du rythme comme mesure subjective du temps. Chaque machine, envisagée comme média et outils de création, devient alors un instrument musical possible dont la morphologie et le potentiel sonore sont expérimentés en collaborations avec des musiciens. Par des opérations d’assemblage, de détournement, de décomposition ou d’association, l’artiste sonde leurs modalités d’expressions rythmiques. Physicalité de l’instrument, gestuelle, mouvement, orientation de l’écoute, système de notation, composition sont autant de motifs qui dessinent l’orientation de ses dernières productions.

Anachronismes et chaos techniques

Paul Destieu s’intéresse aux formes de transmissions du signal : modes de diffusion de l’information, temps réel ou différé, etc. et à ses transformations (par amplification, encodage, etc.), en jouant sur le passage entre ces différents états (de nature mécaniques, électriques ou encore numériques).
Ses travaux exposent les altérations produites, dans ce processus de transformation et d’adaptation :

perte ou distorsion d’une partie de l’information, aberrations visuelles ou sonores, défauts de restitution. La notion de geste (notamment le geste qui précède le son chez le musicien) devient alors un enjeu central de sa recherche. Paul Destieu réinvestit avec des outils contemporains les techniques de séquençage et d’appréciation du mouvement héritées des courants artistiques modernes et de la chronophotographie. Marqués par une tendance à l’anachronisme, ses travaux cherchent tantôt à mesurer la capacité de propagation et de résistance du signal dans son environnement, tantôt à traduire sa durée en une forme.

En articulant ces compositions hybrides à la croisée de l’écoute et du regard, Paul Destieu questionne l’architecture de nos perceptions et de ce qui fait ‘langage’. Il donne vie à des dispositifs, des installations et des performances dans lesquelles la structure -visuelle ou sonore- cherche à s’affranchir de l’autorité des formats pour partager une expérience en mettant littéralement en jeu les concepts de temps, d’espace et de mouvement.

Concert de Postcoïtum

Mardi 10 septembre à 19h

Dans le cadre de l’exposition monographique de Paul Destieu, Postcoïtum (Bertrand Wolff : laptop, synthétiseur ; Damien Ravnich : batterie, pad) jouera à partir de 19h30.

Postcoïtum est le projet de Damien Ravnich et Bertrand Wolff, construit autour du mariage de l’instrumentale et de l’électronique et faisant appel à des influences hybrides autour de textures idm, de rythmiques indie rock ou encore de sonorités industrielles. Le duo piège par un ensemble de curiosités sonores avant de nous avaler par la force hypnotique d’un système mélodico-rythmique narratif. L’univers suggéré laisse alors la place aux possibles en nous emmenant vers le transcendantal, le tragique, l’incongru, avec un paysage sonore vaste et éclectique

Un nouvel album, [Collapse], est prévu pour 2019.
http://www.bertrandwolff.com/postcoitum

Lumière habitée

Exposition conçue par Jean-Christophe Bailly

Delphine Wibaux, Ismaïl Bahri et le duo Todèl (Tom Rider & Delphine Wibaux)

Exposition du 31 mai au 20 juillet 2019

Vernissage et brunch le 30 mai de 12h à 22h

Dans le cadre du Printemps de l’art contemporain 2019.

Deux artistes se partagent les lieux, pas vraiment avec des œuvres, mais plutôt avec des actions. Des actions qui ne sont pas des « performances », mais des gestes tentés en direction de la lumière, pour la faire venir, advenir, et montrer qu’elle nous traverse et qu’on l’habite. L’idée c’est de la capter telle qu’elle se manifeste, venant du dehors et faisant entrer ce dehors dans l’espace de la galerie. Il ne s’agit pas d’une opération abstraite, mais d’une sorte de déposition matérielle continue : via des trouées, des images, des objets. Et le dehors c’est tout ce qui commence dès qu’on franchit une porte ou qu’on ouvre une fenêtre : à la limite il n’y a pas de dedans, ou du moins n’a-t-il de sens qu’à être pénétré. À la limite il n’y a pas de limite. Il suffit de capter pour le comprendre. Fabriquer de bons capteurs et parfaire avec eux l’écoute, tel serait le propos.

« La somme de ce qui nous touche on l’appelle la nature » disait Novalis. C’est donc la « nature » qu’on écoute, mais aussi, comme un filtre, la ville, oublieuse, oubliée. Et là, tout près, la ville c’est la Plaine, avec ce qui s’y passe, avec ceux qu’on empêche de passer. Là aussi des grains, des grains d’existence dispersés.

Et toujours avec l’entrée de la lumière et de ce qui l’habite, le passage du temps : une poussière qu’on recueille avec soin dans une sorte d’observatoire en prise sur le vivant.

PAGES ARTISTES
INSTANT PRESSE

GLISSEMENT DE TERRAIN

CHARLOTTE MORABIN & DELPHINE MOGARRA

Primavera Gomes Caldas & Mélanie Joseph

Du jeudi 2 au samedi 4 mai 2019

Vernissage le jeudi 2 mai 2019 à 18h30

« Une surface chahutée dévale sur une nouvelle terre, adapte son vocabulaire.
L’oeil extrait et la main transforme.

Les corps s’automatisent jusqu’à venir opérer la fusion et donnent naissance à de nouvelles fabulations. »

Sortie de résidences dans le cadre du programme TRAVAIL ! TRAVAIL !, programme d’ateliers de professionnalisation et de résidences d’artistes en entreprises conçu et mise en œuvre par art-cade*, Collective, Les Beaux-Arts de Marseille (ESADMM) et Mécènes du Sud, avec le soutien du ministère de la Culture. Le programme est ouvert aux étudiants et diplômés des Beaux-Arts de Marseille depuis 2017.

Deux binômes sélectionnés donnent à voir une restitution de leurs recherches durant leur résidence en entreprise.

Delphine MOGARRA & Charlotte MORABIN

« Le bruit assourdissant d’une filtration, l’énergie des liquides qui circulent, le tremblement des flacons qui s’entrechoquent, les accélérations du transpalette et puis silence. Il a suffi d’une inspiration pour que… » Texte de D.Mogarra & C.Morabin

C’est à partir de prises de notes, de gestes, de récits, de bruits et de matières récoltées, que Delphine Mogarra et Charlotte Morabin présentent leur travail de recherches effectué dans l’entreprise Cadentia, fabricant d’Eaux de Cologne à Aubagne. Elles déplacent et recomposent à partir de deux espaces bien définis dans l’entreprise : l’espace de conditionnement et l’espace de production (le laboratoire). C’est un chemin entrelacé où s’évacuent les gestes après l’observation. Attentives au moindre bruit, à la moindre goutte pendant le temps passé dans l’entreprise, on assiste à ce moment juste « après l’agitation ».

Primavera GOMES CALDAS & Mélanie JOSEPH

« Comment continuer à exister après le désastre ? Comment survivre dans les ruines du capitalisme ? Après plusieurs mois de recherche au sein de l’Entropotopia, deux archéo-futurologues vous proposent de découvrir leur première collecte d’images, d’interviews, d’objets et d’histoires.”

Suite à une période de résidence au sein de l’espace de coworking I lov’It , les deux artistes Mélanie Joseph et Primavera Gomes Caldas proposent les prémices d’une réflexion effectuée en binôme sur les notions de travail, d’utopie et de l’être en collectif. Une navigation entre mythe et fabulation à des millénaires de nos urgences contemporaines.

Notre maîtresse à penser (Appelons-la Christine!) nous a, un jour, réuni sous un olivier, où nous nous sommes reniflées, pistées puis appréciées : notre binôme était né ! Sous l’oeil bienveillant de notre guru Donna Haraway, nous nous sommes alors attelées aux supers tâches de démembrement des systèmes de domination et, d’exploration des champs du possible offerts à nos âmes en détresse. Ou comment survivre à la précarité de notre temps.

Une résidence TRAVAIL TRAVAIL !! de Primavera Gomes Caldas et Mélanie Joseph au sein de l’entreprise Tivoli Capital accompagnée par Mécènes du sud.

Marche / Arrêt

Performance chorégraphique dirigée Charlotte Morabin
Danseur : Nabjibe Said (Original Rockerz)
Durée : 5min
Composition musicale réalisée par Charlotte Morabin, Christelle Canot et Walter Laguerre

Marche / Arrêt s’inspire des postures et gestes des salariées de l’entreprise Cadentia, fabricant d’eau de Cologne. On s’intéresse alors à la droiture du dos, au va et vient d’une main tremblante, à l’impulsion du pied donné à la machine et à ces hanches qui pivotent…
Nabjibe Said tente alors de travailler et suivre ces machines aux rythmes effrénés. Chaque geste compte, se rajoute, se répète et s’amplifie. Il s’accapare la rythmique et se conditionne à chaque mesure. Le corps s’adapte-t-il à la machine, où la machine s’adapte-t-elle au corps ?

Leçons d’architecture

André Ravéreau

AUTOUR DE L'EXPOSITION
TRANSMISSION
Le 5 mars à 19h à la MAV PACA

Pour raconter la manière dont André Ravéreau enseignait ceux qu’il appelait ses
enfants ou ses élèves à travers le chantier, une équipe d’anciens stagiaires et bénévoles ont présenté le chantier-école de la maison en Grèce.
– Manon Bublot, François Cadiou, Stéphane Herpin et Capucine Tournilhac,
architectes, anciens stagiaires et bénévoles auprès d’André Ravéreau.

REGARDS

Le 22 mars à 19h à la galerie

L’observation était une des leçons d’André. Le thème a été abordé et discuté à partir de l’oeil de sa fille, celui d’une architecte-chercheuse et d’un cinéaste.
– Claude Pavard, écrivain, cinéaste ayant connu André Ravéreau au M’Zab ;
– Maya Ravéreau, architecte ;
– Daniela Ruggeri, architecte, auteure d’une thèse sur le travail d’André Ravéreau.

Atelier de construction

Le 16 mars à 14h à la galerie

Il a été proposé au grand public de réaliser une voute nubienne, technique de construction traditionnelle, qu’André Ravéreau – comme son ami Hassan Fathy – louait- pour la simplicité des moyens utilisés et l’intelligence de sa mise en oeuvre.
– Pascal Baeteman, charpentier et maçon, ami d’André Ravéreau ;
– Jean-Jacques Horem, maçon, ami d’André Ravéreau.
Les briques d’adobe ont été gracieusement donné grâce au partenariat de l’association Le Village

Exposition hommage du 1er mars au 13 avril 2019

Vernissage le 28 février 2019

André Ravéreau, c’est d’abord un regard. Un regard que le grand âge a aveuglé sans rien lui enlever de son acuité. André Ravéreau, ce sont d’innombrables dessins où un oeil se promène, attentif au moindre détail, tout autant qu’à l’horizon au-delà. André Ravéreau, c’est une capacité rare à voir à la fois au près et au loin, le singulier et l’intemporel, ce qui change et ce qui reste, et comment l’alliance des lois de la statique et de l’équilibre, universelles, se conjuguent avec la variable de la latitude pour orienter le geste architectural.

Grand observateur de la Méditerranée où il vécut et travailla la plupart de sa vie, André Ravéreau a su lire et relire l’architecture traditionnelle comme nul autre ; il en a relevé les pertinences constructives, l’adaptation fine aux usages et aux climats, mais aussi l’équilibre «sans ornementation» et la troublante beauté dont témoignent les magnifiques photographies de sa compagne et collaboratrice, Manuelle Roche, l’oeil de l’oeil, celle qui sut si parfaitement fixer sur le négatif ces subtilités constructives savoureuses que voyait André Ravéreau.

Ce regard particulier a généré une oeuvre importante ainsi qu’une école ou plutôt un atelier-école : l’Etablissement Régional Saharien d’Architecture, d’Urbanisme et d’Environnement, plus communément nommé « L’atelier du M’Zab », lieu dans lequel l’apprentissage se faisait par l’expérience physique et sensible du site et la transmission continue d’un enseignement hors cadre, essentiellement oral, visant à exercer le regard pour mieux extraire le sens de la forme.

Nourrie du fonds d’archives accumulé par André Ravéreau et Manuelle Roche, puis développée sous l’égide de l’association ALADAR (Association Les Amis d’André Ravéreau), l’exposition s’appuie sur une mine de supports de toutes natures: dessins, photographies, enregistrements audio et vidéo dont de nombreuses démonstrations filmées par les stagiaires. Ils permettent de présenter, pour la première fois, de multiples travaux et thématiques inédits, sur lesquels réfléchissait André Ravéreau jusqu’à ses derniers jours.

Une exposition à l’initiative de Maya Ravéreau réalisée par l’association ALADAR. Commissariat : François Cadiou, Jeanne Marie Gentilleau, Marta Pop. Scénographie : Anaïde Nayebzadeh. Avec : Pascal Baeteman, Mounia Bouali, Manon Bublot, Caroline D’Arras, Jean Goizauskas, Jean-Jacques Horem, Djenina Illoul, Bernard Lab, Adam Nafaa, Daniela Ruggeri, Capucine Tournilhac, Amel Zerourou.

La Relève

Jenny Abouav, Gillian Brett, Amandine Capion, Anouk Moyaux, Kent Robinson

Exposition du 18 janvier au 6 février 2019

Vernissage le 17 janvier 2019 à 18h à art-cade* et HO

Parallèle s’associe à art-cade* Galerie des Grands Bains Douches de la Plaine et la Galerie HO pour donner à voir le travail d’artistes plasticien.ne.s en phase de professionnalisation à l’issue d’un appel à projets. À l’occasion du festival, les 3 partenaires proposent une exposition réunissant les projets retenus autour des notions suivantes : Abstraction, subversion, disparition.

Plus de cent projets ont été reçus et étudiés par un comité de sélection composé de :

– Aurélie Berthaut – directrice d’art-cade* Galerie des Grands Bains Douches de la plaine, présidente de la Semaine Pop Philosophie et cofondatrice de l’Agence Collective, dédiée à l’accompagnement d’artistes,

– Fouad Bouchoucha – sculpteur, performeur et vidéaste,

– Lou Colombani – directrice générale et artistique de Parallèle,

– Marie De Gaulejac – commissaire d’exposition et chargée des résidences à Triangle France-Astérides,

– Gilles Desplanques – artiste et co-fondateur de la galerie HO et de Marseille expos,

– Constance Juliette Meffre – commissaire indépendante et productrice,

– Abraham Poincheval – performeur et professeur à l’École supérieure d’art d’Aix-en-Provence,

– Frédéric Pradeau – sculpteur, plasticien et professeur à l’école des Beaux-Arts de Marseille.

Ecosystème de production :

Art-cade* Galerie Bains Douches

Galerie HO

Artistes exposés à HO :

Jenny Abouav, Sophie Blet, Gillian Brett, Stéphanie Brossard

art-cade*
Galerie des grands bains douches de la Plaine

35 bis rue de la Bibliothèque
13001 Marseille, France
Tél. : 04 91 47 87 92

Horaires d'ouverture
Du mardi au samedi de
15h00 à 19h00

art-cade* est membre du réseau

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