2010

opus magnum 

exposition collective 

Exposition du 7 au 14 janvier 2010.

Vernissage le jeudi 7 janvier 2010 à 18h00.

Avec LOIC PANTALY, ANDRIC LEQUENNE BASILIO, YANNICK PAPAILHAU, VERANA COSTA, STEPHANE MELANO, ANNA BYSKOV, NEVEN ALLANIC, SERGIO VERASTEGUI, CAMILA FARINA

archipélique 2 

Exposition collective

Exposition du 29 janvier au 26 février 2010

Vernissage le jeudi 28 janvier à 18h00

Avec Paul Baquié, Pierre-Alain Caille, Charlotte Cauwet
Bérangère Crouillère, Arnold Degiovanni
Amélie Derlon, Amandine Ferrando, Andréa Ferro
Marjorie Guiter, Yiran Guo, Natalie Hofmann
Xinhe Jiang, Gee-Jung Jun, Marine Koprivnjak
Sylvain Lecuyer, Lionel Morvan, Camilo Nino
Ema Nurit, Hye-Jung Park, Axelle Perot
Emilie Picard, Géraldine Py, Mariam Rency
Cédric Rougier, Aurore Salomon, Carla Schertel
Bruno Sedan, Yan Saint-Onge, Jinjin Sun
Fanny Vignon,Pierre-Yves Vincent et
Masaki Watanabe

Archipélique2, une exposition d’art contemporain qui se
découpe en 2 temps, 3 mouvements et 1*.
La galerie des Grands Bains Douches de la Plaine/Art-Cade, la galerie Montgrand et Documents d’Artistes à la Friche La Belle de Mai, accueillent 32 des ressortissants du DNSEP promotion 2009 Art et Design de l’École Supérieure des Beaux-Arts de Marseille.

Archipélique2 vous invite à rencontrer les trouvailles, les
expériences, les oeuvres, les objets, les engagements et les
recherches esthétiques de 32 jeunes artistes du début du
siècle à leur entrée dans le monde culturel professionnel.
Elle rend aussi visible la réalité objective du travail de formation de l’ESBAM, une école d’art transdisciplinaire
qui accompagne sur plusieurs années (DNSEP, bac +5) les
parcours collectifs et singuliers de ses étudiants.

Présentation de projets d’étudiants de l’école d’architecture de Marseille 

Exposition collective 

« Les bords de la nature sont toujours en lambeaux »

EXPOSITION DU 12 AU 27 MARS 2010

Vernissage le jeudi 11 mars 2010 à 18h30

Avec les enseignants Éric BABIN, Hervé DUBOIS, Cyrille FAIVRE-AUBLIN, Stéphane FERNANDEZ, Stephen GRIEK et Vac Dominique PUTZ,  

Le projet d’architecture est le seul acte par lequel l’architecte concourt à toute civilisation. C’est une action pensée de transformation du territoire et de ses usages, à partir d’un état du monde que le projet dresse et contribue à clarifier. Nous proposons d’aborder le projet architectural par la pratique théorique du projet, ou la “progettazione” (mot italien sans réelle traduction française) comme mode opératoire et de pensée. C’est une pratique productrice de connaissance, s’appuyant à la fois sur des positions théoriques et des données empiriques qui, à leur tour, peuvent déboucher sur de nouvelles questions théoriques. La forme architecturale est ce par quoi l’architecte pense et agit.

chaque effondrement

Exposition collective 

EXPOSITION DU 2 AU 16 AVRIL 2010

Vernissage le jeudi 1er avril 2010 à 18h30

Avec Ludovic Bastide, Jerome Bauduin, Abdelkader Benchamma, Jéremy Damien, Saadia Dahiry, Linda Deleurence, Antoine Deschamps, Vincent Ducarne, Julien Francioli, Erin Gilg, Pierre Louâpre, Cécile Straumann, Remi Tamain, Virginie Trastour. 

« A chaque effondrement des preuves, le poète répond par un salve d’avenir » René Char

Une proposition de Catherine Guibot & David Blondel

Archist paysages

la clareté du labyrinthe

EXPOSITION DU 6 AU 29 MAI 2010

Vernissage le jeudi 6 mai 2010 à 18h00

Avec Jeppe Hein, Claire-Jeanne Jezequel,
Pierre Labat, Stéphanie Nava, Rémy
Rivoire, Bettina Samson, Christine
Sibran

Dans le cadre du projet ARCHIST mis en place depuis 2008 par ART-CADE et qui a pour but d’interroger les liens entre art, design,  architecture, paysage, urbanisme, la Galerie des Grands Bains Douches de la Plaine présente une série d’évènements qui se dérouleront autour de l’exposition «Archist Paysage La clarté du Labyrinthe ».
L’exposition s’inscrit dans une relecture de l’appréhension de
l’architecture et du paysage comme « esquisse de labyrinthe ».
La référence de départ proposée aux artistes est le contexte marseillais et plus particulièrement l’aspect « piranésien » des constructions.
Les artistes invités explorent librement les différentes typologies des quartiers de la ville contemporaine au sein de l’espace de la galerie, ouverte elle-même sur le ciel de la ville par une succession de niveaux et d’ambiances.

Sans crayon sans gomme

carte blanche À yazid oulab

EXPOSITION DU 3 AU 26 juin 2010

Vernissage le jeudi 3 juin 2010 à 18h00

Avec une performance de Laurent Le Forban le 3 juin à 19h

MYRMY:R

photographie de jinjin sun et xinhe jiang

EXPOSITION DU 1 AU 24 juillet 2010

Vernissage le jeudi 1er juillet 2010 à 18h00

« Chaque homme porte en lui un monde composé de tout ce qu’il a vu et aimé, et où il rentre sans cesse, alors même qu’il parcourt et semble habiter un monde étranger. »
François-René de Chateaubriand

de la carte blanche À la Galerie baudoin leblon 

mathieu bernard reymond 

EXPOSITION DU 6 AU 27 AOUT

Vernissage le jeudi 5 août 2010 à 18h00

Mathieu Bernard-Reymond manipule l’image pour
construire une poétique étrange et renouveler
les codes visuels de la photographie.

votre prix sera le notre 

 archist

eXPOSITION DU 9 septembre au 2 Octobre 2010

Vernissage le jeudi 9 septembre 2010 à 18h00

Avec Raphael BOCCANFUSO, artiste, Christelle BONNET, artiste, Julia CHAFFOIS, artiste, Damien CHIVIALLE, designer, Gilles DESPLANQUES, artiste, Isabelle FREMIN, artiste, Gerlinde FROMMHERZ, artiste, Anne-Valérie GASC, artiste, Emmanuelle GERMAIN, artiste, Françoise GORIA, artiste, Samuel GRATACAP, artiste, Xinhe JIANG, artiste, designer, Laurence KIMMEL, architecte, Pierre LABAT, artiste, Laurence LAGIER, artiste, Benjamin MARIANNE, artiste, MIJARES, artiste, Philippe PAOLI, architecte
Attila RATH GEBER, artiste, Rémy RIVOIRE, artiste
Bastien ROUSTAN, artiste, Pauliina SALMINEN, artiste, Suzanne STRASSMAN, artiste
Jin Jin SUN, photographe

L’autre bord  

eXPOSITION DU 14 octobre au 7 décembre 2010

Vernissage le jeudi 14 octobre 2010 à 18h00

Avec Kader ATTIA, Mohamed BOUROUISSA, Dora DHOUIB, Noureddine FERROUKHI, Tarik ILES, Delel TANGOUR, Mouna KARRAY 

Et une lecture de Mohamed KACIMI, L’Orient aprés l’Amour paru aux Editions Actes Sud

« Marseille, ville ouverte. Dans un monde où règnent les territoires et les identités, les frontières et les nationalités, Marseille est une rive et un rivage, un bord de mer. Marseille, en ce sens, est une ville sans frontières. La Méditerranée, qui la borde, est l’espace flottant qui, des désirs, quelquefois, comme dans toute odyssée, lorsque la chance sourit, peut faire une réalité. Elle est l’entre monde qui modèle les affects et les affectivités, les émotions et la sensibilité. Loin d’être un
océan qui sépare et éloigne, elle fait, du maritime, une sorte d’urbanité commune. C’est, par son histoire et sa géographie, le carrefour de bien des rêves, en commençant par ceux du légendaire Ulysse qui, des sirènes, avait peur du chant. Cette mer est celle des transports et de tous ses émois.

Activer et accélérer les circulations, faire de la Méditerranée la surface où rêves et réalités se réfléchissent, où les fantasmes miroitent, où les désirs se projettent est l’objectif de la manifestation. D’un rivage, en effet, il y a toujours un autre rivage. Une rive appelle l’autre rive. Un bord renvoie à un autre bord. L’entre monde est celui des subjectivités qui l’habitent, qu’aucun dénombrement, qu’aucune comptabilité, qu’aucune objectivité ne peut mesurer et, surtout, apprécier. L’exposition est centrée sur le désir et sur l’ailleurs. L’autre bord comme autre lieu et comme autre vie : ce sont à la fois des expériences particulières et la métaphore de l’existence de chacun.
Elle accueillera des artistes du Maghreb, d’ici et d’ailleurs, dans des regards croisés».

back room stephane protic

eXPOSITION DU 16 decembre 2010 au 6 janvier 2011

Vernissage le jeudi 16 décembre 2010 à 18h00

Et une lecture de Mohamed KACIMI, L’Orient aprés l’Amour paru aux Editions Actes Sud

Qu’il s’agisse de dessin, de sculpture ou d’installation, il est chaque fois question d’espace de projection et de surfaces de représentation dans le travail de l’artiste. Extraire, isoler et abstraire les corps du visible consiste à les mettre en scène et en jeu, mais aussi en « vue », dans ce qu’ils exposent en voilant et ce qu’ils dissimulent en divulguant. Dans la pratique, le geste s’attelle à remplir les vides (pages blanches, espaces vacants) par systèmes de soustractions. S’il faut parler d’exhibition, elle se joue alors dans ses propres économies et s’accomplie par la dérobade. Le corps entrepris ici, c’est celui du lieu des anciens Bains Douches de Marseille accueillant la première exposition personnelle de Stéphane Protic. Pour l’occasion, l’artiste investi l’espace en négatif et le redonne à voir en retraits. Sur le papier, le projet s’esquisse sous forme de repentirs ciblés, et enveloppes de fragments prélevés du lieu. Dans l’espace, le projet prend son souffle à la manière d’un appel d’air obstruant les voix de contemplation et de communications tout en ouvrant le passage vers un alter mundi. Mise en plein des vides, aspiration des non-lieux, les « gonflables » de Stephane Protic procèdent d’une entreprise éphémère de marquage, estampage et marouflage précaires de l’édifice. Le matériau unique, polyéthylène noir instable et volatile, déborde des orifices, caresse les murs et se colle aux parois, gonfle à bloc, inspire et décompresse, vivant en continu dans les réserves d’espace qu’il dessine là, en toile de fond d’un arrière-champ habité des fantasmes provoqués par frustration.
L’espace est saturé, la vue dissimulée et le corps entravé. Si le dispositif semble nous priver, il recèle pourtant plus d’une ouverture possible : entrée en Back Room.