2005
Objets divers
Vernissage le 21 janvier 2005 à 18h30
Exposition 21 Janvier au 16 février 2005
Avec Thierry Bernard (photographie), Sylvie Fajfrowska (peinture), Philippe Gronon (photographie), Suzanne Hetzel (photographie), Sylvie Reno (sculpture) et Klaus Stöber (photographie)
L’exposition « Objets divers » à la galerie des Grands Bains Douches de la Plaine présente six artistes abordant entre autre la question de l’objet dans ses significations les plus larges. Il peut être l’objet même du travail à partir d’une problématique qui va en interroger la forme et l’image ou faire l’objet d’un éclairage particulier jouant sur ses possibles fonctions métaphoriques. Il peut être formellement pour les possibilités compositionnelles qu’il offre et il peut enfin fonctionner comme indice dans l’image ; « Objets Divers » témoigne de la diversité de ces usages de l’objet, mais accepte aussi volontiers le glissement de sens qu’il peut receler.
Simon Bonneau (sculpture), Colin Champsaur (vidéo, installation), Baptiste Chave (peinture)
Exposition du 10 mars au 9 avril 2005
Vernissage le 10 mars à 18h30
La thématique de cette exposition est le Rire, libre ou savant, celui des anti-héros dont la dérision bricolée ne parvient à dissimiler entièrement la tragédie du décalage, la passion de l’art, l’amour du jeu.
Programmation Camille Cloutier et Luc Jeand’heur
Mathieu Abonnenc (vidéo, installation), Marion Mahu (vidéo, installation) et Rémi Bragard (sculpture)
Exposition du 21 avril au 21 mai 2005
vernissage le 21 avril 2005 à 18h00
Notre idée qu’une galerie associative est un espace où des pratiques se confrontent, dialoguent, se réinventent les unes les autres nous a conduit à proposer à trois artistes dont nous apprécions le travail de chacun de s’associer pour élaborer une proposition commune sous la forme d’une carte blanche.
Programmation Camille Cloutier et Luc Jeand’heur.
Dessiner le monde, dessiner un monde
Vernissages le 2 juin à 18h00
Exposition 2 juin au 2 juillet 2005
avec Jean-Claude Bohin, Jean-Loup Cornilleau,,
Claudie Floutier, Jean-François Sonnet
Le fil conducteur de cette exposition est le dessin. La pratique du dessin est littéralement inscrite dans les gènes et dans les mains de tout individu sur cette terre. Il permet la médiation possible d’une pensée complexe là où bien souvent les mots font défaut. Si les mots permettent de réinventer le monde, le dessin permet de s’en approprier et de le transposer en originaire car il contient cette part primitive de mémoire, de savoir, d’imaginaire, d’affect et de poésie visuelle.
Programmation Philippe Cyroulnik.
Jorge Macchi et Miguel Rotschild
Exposition du 21 octobre – 20 novembre 2005
Vernissage le 21 octobre de 18h à 22h
Cette exposition « fait suite » à l’exposition « Individuel & Collectif » programmée en septembre 2004 avec Rosana Fuertes et Magdalena Jitrik, deux artistes argentines. « Individuel et Collectif » avait donné lieu à une résidence de 2 semaines au sein de la galerie pour Magdalena Jitrik. L’association Art-Cade emboîte le pas de Philippe Cyroulnik dans son exploration de l’Art et d’artistes venant d’Argentine.
Miserable intention
Exposition du 6 octobre au 10 novembre 2005
Vernissage le 6 Octobre à 18h30
Gaston Damag / Manuel Ocampo (artistes philippins)
Gaston Damag et Manuel Ocampo ont fait connaissance en 1984 au département des Beaux-Arts de l’Université des Philippines. L’année suivante, chacun quittait le pays pour aller s’installer à l’étranger, Damag à Paris et Ocampo à San Francisco. En 1995, lors d’un séjour européen de ce dernier, les deux artistes ont repris contact et ne cessent, depuis, de partager leurs idées et de formuler des projets communs. Des collaborations inédites ont ainsi pu voir le jour, faisant prendre un tour résolument nouveau au travail du peintre (Manuel Ocampo), et à celui du sculpteur (Gaston Damag). : Arena for a Pseudo Context, 1997, Delfina Gallery à Londres et Centro Cultural Tecla Sala à Barcelone ; La Naturaleza de la Cultura, 1999, Centre Andalou d’Art Contemporain à Séville.
Miserable Intentions, titre qu »ils ont choisi pour produire une oeuvre conjointe, conçue à deux têtes, réalisée à quatre mains. Si dans leur démarche et préoccupations artistiques, Gaston Damag et Manuel Ocampo cherchent tous deux à inventer des moyens inattendus pour contrer les normes de l’art occidental, et par là, déconstruire les héritages colonialistes qui subsistent dans la culture contemporaine et la vie sociale, leurs processus créatifs sont en même temps radicalement distincts.